Une volonté politique ? Questions - Réponses "Projet, je suis la Nièvre"
https://travail-de-memoire.pagesperso-orange.fr/Projet.pdf
La communication sur différents supports parisiens est assez jubilatoire mais il faudra convaincre ces mêmes décideurs pour certains prompts à l'interpréter comme provocatrice à notre époque du mouvement #MeToo ?
L'association "je suis la Nièvre" s'est redéfinie en 2019 !
Les figures ou plus exactement les allégories féminines restent une constante dans la représentation occidentale et permettent sans doute de se démarquer de la traditionnelle carte-postale ou affiche de la trilogie « souvenir-paysage-monument ».
Il s'agit d'un moyen d'attirer l'attention sur notre Département sans lien aucun avec l'association « Je suis la Nièvre » que d'ailleurs je ne connaissais pas.
Aujourd'hui la provocation, bien timide en l’occurrence, fait partie du jeu en communication comme ailleurs et le mouvement #MeToo que vous citez en constitue le parfait exemple, sans compter sur une ouverture d'esprit sans distinction, tant masculine que féminine. D'ailleurs notre Marianne hésite-t-elle à montrer sa jolie poitrine ?
Effectivement les décideurs sont souvent frileux, surtout si l'idée vient d'ailleurs, je veux dire en dehors de leur cercle de connaissances et de relations, mais ce n'est pas vraiment nouveau.
Pourtant le projet ne serait pas forcément très coûteux ; en effet, la RATP dispose d'après son directeur des relations institutionnelles d'espaces libres, mais un appui politique s'avère incontournable.
Le projet a t-il été proposé aux intéressés nivernais ?
Le projet a bien été proposé aux intéressés nivernais et bourguignons et j'ai reçu quelques courriels encourageants mais delà à être suivi d'effet ? A noter que nos deux députés n'ont pas répondu.
Par contre, la Mairie voisine de Pougues-les-Eaux serait partie prenante pour une exposition-présentation en soutien du projet « Je suis la Nièvre », dans le cadre de son Pavillon des Sources, au Printemps prochain.
Alors pourquoi quelques Départements ne transformeraient-ils pas l'épreuve de l'épidémie de Covid-19 en opportunité pour attirer les touristes ?
La société change, tout le monde s'en rend bien compte, Covid-19 ou pas. Les méthodes de fabrication ont considérablement évolué avec nombre d'emplois supprimés. Ne reste plus que le domaine tertiaire et, ici, la situation centrale, donc la proximité du « Vert Pays » devient certainement un atout à exploiter notamment envers Paris et sa région.