LES TERRIFIANTS « FÉLICITÉS DU JURY » DE L’ENSBA-PARIS
Avec les félicitations du Jury
Mon agent infiltré a pu aller au vernissage de l’expo des œuvres de la cuvée 23-24 de la trentaine des diplômés avec félicitations du jury de la prestigieuse École Nationale des Beaux-Arts de Paris. Il a pu m’en rapporter un bon lot de réjouissantes images que je vous joins.
Celles-ci vous donneront une idée de l’ampleur du carnage artistique que nous propose cette expo curatée par Émilie Villez et intitulée, en hommage au land-artiste Richard Long, « Des lignes de désir ».
Les raisons et origines profondes de ces créations restent à analyser ? Et ce n’est pas ce qu’en dit Alexia Fabre, directrice des lieux, qui nous apportera quelque explication plausible : "La question de la diversité dans notre recrutement est fondamentale", nous dit-elle et elle ajoute : "Sortir des sentiers battus, tout en trouvant sa place dans l’écosystème de l’art, l’enjeu de l’exposition est avant tout de présenter au public un panorama de pratiques artistiques contemporaines, ouvrant des pistes de résonance et de réflexion sur l’art et le monde d’aujourd’hui, c’est le fil rouge qui crée du lien. En 2024, nous insisterons sur la transition écologique, qui irrigue déjà tout !".
Que faire ? Que faire ? Que faire ?
Moi, je propose qu’on ferme cette école d’art parisienne, ainsi que toutes les autres régionales, départementales et municipales propageant la même idéologie dévastatrice. La même chose bien sûr pour les FRAC et Centres d'art qui sont intimement liés.
Des félicitations, mais par quel jury ? En tous cas, ni vous ni moi n'en faisions partie. Effectivement elle fut prestigieuse cette école des Beaux-Arts, dernière du nom d'ailleurs, les autres, celles de province, ne s'appellent plus ainsi depuis les années 70-80.
La réalité de la vie ramènera Leurs lauréats, à défaut de devenir fonctionnaires ou d'être bien nés, à l'ordinaire réalité - du chômage.
Quant à fermer les écoles d'art, pas sûr qu'il y ait aujourd'hui une notoire volonté politique.