Sarah Paxton-Ball-Dodson 1847-1906
samedi 28 mars 2015
jeudi 26 mars 2015
Portraits
Gaston Baillet et Léontine Buisson 1919
Jeanne Baillet veuve Auguste Lebel 1915
Louis Baillet 1914
Mademoiselle Lucienne Boiseau - Alfortville
Pour mon cousin le jour de mes 15 ans
Simone et Paulette 1931
lundi 23 mars 2015
dimanche 22 mars 2015
Gaston Bussière
Gaston Bussière est un artiste symboliste français, peintre et illustrateur. Bussière, né à Cuisery le 24 avril 1862 et décédé à Saulieu le 29 octobre 1928, a étudié à l'Académie des Beaux Arts de Lyon avant d'entrer à l'école des Beaux arts de Paris, où il fréquente les ateliers Cabanel et Puvis de Chavannes. En 1884, il remporte le prix Marie Bashkirtseff.
L'esprit de sa création reste assez proche de celle de Gustave Moreau.
Gaston Bussière connaît un rapide succès comme illustrateur en créant des œuvres pour des auteurs majeurs.
Il a entre autres illustré les livres « Splendeurs et Misères des courtisanes » d’Honoré de Balzac ; « Camées et Emaux », de Théophile Gautier ; « Salomé » d'Oscar Wilde. Il a également illustré plusieurs œuvres de Flaubert.
Associé de Joséphin Péladan, le fondateur de la Rose-Croix esthétique, Bussière expose ses œuvres au Salon de la Rose-Croix sur plus de deux ans. Plusieurs de ses œuvres sont exposées au Musée des Ursulines à Mâcon.
vendredi 20 mars 2015
mardi 17 mars 2015
Albums des Ateliers et Salons
L'État achète plusieurs collections de ces albums, de cinq à quatorze selon les années. On en connaît les destinataires par une unique liste établie à l'occasion du Salon de 1880. Du ministre de l'Instruction publique au sous-chef du bureau du Personnel et des Travaux d'art, les destinataires sont au nombre de huit, auxquels s'ajoutent deux services : la bibliothèque de l'École nationale supérieure des Beaux-arts et la bibliothèque de l'administration des Beaux-Arts, ce dernier service n'est pas identifié. Actuellement, cinq institutions - au moins - possèdent une ou plusieurs collections de ces albums : - les Archives nationales conservent une collection de neuf albums, des années 1864 à 1868, 1872, 1875 à 1877 et une autre de trente-trois volumes des années 1864 à 1901.
Il manque, dans cette dernière, les années 1885, 1889, 1892 et 1896, le Salon de 1871 n'ayant pas eu lieu, enfin l'album de 1886 est en double exemplaire, - la Bibliothèque de l'École nationale supérieure des Beaux-arts possède deux collections : l'une de quatorze albums, l'autre de trente-quatre, de 1864 à 1901. Ces deux collections confondues forment l'ensemble le plus complet d'albums des Salons, il n'y manque que les albums de 1879 et 1889. On ne s'en étonnera pas quand on sait que l'École est le seul service conservant actuellement des albums, à figurer sur la liste des destinataires de 1880, - enfin, la Bibliothèque nationale conserve une collection de huit albums, la Bibliothèque centrale des musées nationaux, une collection de douze exemplaires, et la bibliothèque du Musée d'Orsay une collection de sept exemplaires. La consultation des inventaires de ces services permet rarement d'identifier les services versants plus précisément que le " ministère des Beaux-Arts " ou l' " administration des Beaux-Arts ".
Vues d’ateliers d’artistes actifs à Paris autour de 1890-1910, conservés à la bibliothèque de l’INHA (fonds de la bibliothèque d’Art et d’Archéologie Jacques Doucet).
Achetés en 1958 par la bibliothèque pour la somme de 30.000 francs, ces 4 albums regroupent 94 vues d’environ 70 ateliers différents. On y trouve des vues d’ateliers d’artistes encore célèbres : à coté de William-Adolphe Bougereau, par exemple, figurent nombre d’artistes désormais oubliés comme Gustave Courtois (1853-1923). Numérisés depuis 2010, toutes ces photographies sont disponibles sur la bibliothèque numérique en ligne de l’INHA…
Ces photographies représentent un témoignage visuel des goûts de l’époque et, finalement, tout ces ateliers finissent par se ressembler. La mise en scène est bien entendu posée et l’artiste y figure en bonne place généralement devant son chevalet, devant ses œuvre accrochées aux cimaises. Outre l’ameublement Henri II-seconde Renaissance, les photographies nous renseignent aussi sur le processus de création, parfois sur l'oeuvre en cours avec la présence assez rare d’un modèle, d’un visiteur… Ainsi, la vue de l’atelier de Théodore Ralli, nous indique l’importance de la photographie comme outil documentaire, indispensable complément aux plâtres et autres objets originaux ou non comme des armes, animaux empaillés, bijoux, sans oublier les incontournables tentures.
Atelier Théodore Rally, Gustave Courtois, Ignace Spiridon
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