mardi 30 juillet 2019

Performance au Centre d'art


Une performance artistique est une action comportementale entreprise par un ou plusieurs artistes devant un public.
La démonstration peut être présentée accompagnée d’éclairages, de musique ou d’éléments visuels réalisés par l’artiste, seul ou en collaboration, et produite dans des lieux les plus divers, des galeries d’art aux musées en passant le plus souvent par les Centres d'art, comme ici à Pougues-les-Eaux.
Ladite performance peut être unique ou bien réitérée, s’appuyer ou non sur un scénario, être improvisée ou avoir fait l’objet de quelques répétitions.
L'art performance est, par essence, un art éphémère essentiellement connu par ses traces comme des photographies, parfois des films et autres témoignages écrits qui peuvent être également commercialisés.
Bien que l’idée de performance soit présente dans les deux cas, il faut distinguer la performance en direct de la performance en différé. La photographie, la vidéo, le film, l‘enregistrement sonore et certaines formes de sculpture sont souvent le support d’œuvres où la performance est en différé. Il est évident dans ce cas qu’il ne s’agit pas seulement de documentation mais de véritables performances réelles, note la spécialiste Chantal Pontbriand.















mardi 23 juillet 2019

Cimetières Jean-Gautherin et Père Lachaise

Cimetières Jean-Gautherin et Père Lachaise
23 Juillet 2019, Rédigé par éducation-programme
 
C'est en juillet 1791 que le Champ de la Motte est acheté. Un an plus tard, la première pierre de la Chapelle des Trépassés est bénie. En 1793, les cimetières paroissiaux sont supprimés par Fouché et le cimetière prend alors le nom du Champ du repos. À partir de 1810 commence l'édification de monuments, mais ce n'est que dans les années 1830 que le cimetière est véritablement aménagé, et devient un lieu de méditation.
Même s'il porte le nom d'un sculpteur nivernais né à Ouroux, en 1840, qui n'y repose pas, il accueille en son sein les tombes de quelques personnages célèbres locaux comme Pierre Bérégovoy, ancien maire de Nevers et Premier ministre, la résistante et déportée Lucette Sallé ou encore l'écrivain Claude Tillier.











Le Ministère de la Culture doit être supprimé - C'est la vie ! Images d'archives
Depuis sa création en 1959 avec un ministre doté alors de réels pouvoirs cette institution, mis à part quelques actions peu contestables, comme la sauvegarde du patrimoine, aura surtout bénéf...
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samedi 13 juillet 2019

Images HDR

Images HDR
13 Juillet 2019, Rédigé par éducation-programme
For best resuls use exposure intervals of 1EV or more.
Edit the table if EXIF data is missing from the images.
Standard weighting
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The camera curve will be derived from the images. Ghost removal...

mardi 25 juin 2019


Montceau-les-Mines

1 Mai 2015 , Rédigé par education-programme
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
Montceau-les-Mines
L’exploration urbaine, abrégé urbex (de l'anglais urban exploration), est une activité consistant à visiter des lieux construits par l'homme, abandonnés ou non, en général interdits d'accès ou tout du moins cachés ou difficiles d'accès.

La visite de sites industriels désaffectés est en théorie interdite puisqu'il s'agit de lieux privés et en raison des dangers qui s'y trouvent (matières dangereuses stockées, risques de chutes, d'effondrement de la structure, électrocution, amiante, etc...), mais elle représente une grande partie de l'activité d'urbex car facilement réalisable et relativement disponible en fonction des régions. Il arrive parfois que le site ait été racheté par une collectivité locale ou mis sous tutelle d'un organisme public du type établissement public foncier, pour être dépollué et détruit. Dans ce cas, l'activité d'urbex conserve le témoignage visuel d'un patrimoine industriel voué à une prochaine disparition. Néanmoins, il demeure assez rare de trouver un site industriel encore préservé en raison du vandalisme et du pillage qui survient généralement très rapidement après toute cessation d'activité.
Souvent, la visite de tels sites est réalisée par des personnes qui s'intéressent aussi à l'histoire industrielle et respectent les lieux. Des sites industriels classés au patrimoine culturel sont librement visitables et sécurisés (haut fourneau U4 d'Uckange en Moselle, Volklinger Hütte en Allemagne) et constituent une alternative à la visite de sites interdits, mais enlèvent l'aspect de "découverte" et "exploration" propre à l'urbex. On se rapproche alors de l'archéologie industrielle, qui vise à recenser et mettre en valeur un patrimoine, en l'occurrence industriel.

Haikyo - Les Ruines en japonais
Dès les années 70 le Japon dynamise son économie : les prêts sont facilités, il y a beaucoup d’argent disponible, de liquidité, et les Japonais ont des salaires de 30 à 40% supérieurs aux Européens. Ils achètent, spéculent à tout va. Se contruisent de nouvelles usines, des immeubles d’habitations, des terrains de golf, des parcs d’attractions… le champagne coule à flot ! La bulle spéculative, quand à elle, gonfle dangereusement pour finir par exploser le 29 décembre 1989. 2 ans plus tard, la valeur du Nikkei s’est effondrée de plus de 50%, et depuis n’a jamais cessé de baisser. Un paysage nouveau – post-apocalyptique – prends naissance : le monde des haikyos. Un terrain de jeu pour amateurs en tout genre.

Nippon no Haikyo - Editions Issekinicho - Auteur Jordy Meow
Hôpitaux, hôtels, maisons, villages et même îles abandonnées, le Japon regorge de lieux en ruine appelés haikyo. Ces endroits, souvent laissés intacts, témoignent d’une époque révolue. Explorez 38 lieux plus incroyables les uns que les autres, dont l’île fantôme de Gunkanjima, rendue populaire par Skyfall, le dernier James Bond. L’auteur nous livre plus de 250 pages de photos à l’atmosphère mystérieuse et de récits retraçant l’histoire de ces vestiges oubliés du Japon.

http://www.haikyo.org/fr/

lundi 24 juin 2019

Eloge de l'Image


Eloge de l'image

Eloge de l'image

Eloge de l'image

Eloge de l'image

Eloge de l'image

Eloge de l'image

Eloge de l'image

mardi 11 juin 2019

Eloge de l'Image


L’écriture avec son corollaire la parole, ne transcrit sans doute qu’une part de nos pensées, mais à partir du moment où l'on en maîtrise les codes, c'est-à-dire son alphabet, on peut affirmer que l'idée ainsi transmise sera relativement précise et fidèle.
Rien de tel avec l'image ! Mais reste son avantage : nul besoin de code, la vision est forcément " internationale".
Une image c'est tout d'abord une représentation visuelle, voire mentale, de quelque chose.
Elle peut être naturelle ou artificielle comme une peinture, une photographie, tangible ou conceptuelle ; l'image peut entretenir un rapport de ressemblance directe avec son modèle ou au contraire en donner une libre interprétation.
Une des plus anciennes définitions de l'image est celle donnée par Platon : "J'appelle image d'abord les ombres ensuite les reflets qu'on voit dans les eaux, ou à la surface des corps opaques, polis et brillants et toutes les représentations de ce genre".
Le mot image vient du latin imago, qui désignait autrefois les masques mortuaires.
Dans le monde romain, l'imago désignait un portrait de l'ancêtre en cire, placé dans l'atrium et porté aux funérailles. Le droit d'images, réservé aux personnes nobles, leur permettait d'établir et de conserver leur lignage.
Des millénaires la séparent de l'écriture bien plus récente et finalement projection abstraite de la pensée. L'image abolit le temps et l'espace. Le monde moderne consacre le règne de l'image pour mieux imposer ses produits et slogans - la publicité, aujourd'hui, demeure un fait omniprésent.

L'Image change de forme
"Qu'est-ce que l'art ? Existe-t-il en dehors de l'art d'autrefois ?" - "What is art ? Can it exist by ignoring the legacy from the past ?"
Le jour du décès du célèbre peintre Jules Lefebvre, Commandeur de la Légion d'Honneur, Picasso, alors inconnu, a tout juste trente ans et ses "Demoiselles d'Avignon" en ont quatre.
Sous prétexte de recherche, de modernité et d'innovation, l'Image désormais change de forme, peut-être davantage pour le pire que le meilleur ?
D'un XXe siècle riche en diversités, les institutions et l'histoire de l'art retiennent et mettent en exergue surtout les formes d'expression plastique dont l'objectif consiste principalement :
- soit à se manifester sur un mode sommaire et iconoclaste,
- soit à retrouver la source primitive et instinctive de l'acte créateur... Et la Peinture, en particulier figurative, se trouve arbitrairement mise à l'index.

L'Image comme moyen de propagande
La crispation bipolaire, URSS-USA, qui définit la Guerre froide pendant plus d'une décennie est également culturelle puisque les deux puissances se combattent aussi par l'intermédiaire de l'image.
Dès 1946, le ministère des Affaires Étrangères des États-Unis participe au financement de deux grands programmes d'expositions de peintures, vitrine de l'excellence de l'Art américain, amenées à voyager en Amériques du Sud et surtout en Europe.
Afin de promouvoir ladite excellence, le sénateur Fullbright établit parallèlement un programme de bourses permettant à des milliers d'intellectuels de tous pays d'effectuer le « Grand tour » américain afin d'admirer sa richesse culturelle.
Il s'agit, notamment, d'affirmer et d'établir l'émergence d'une nouvelle école spécifiquement américaine, c'est-à-dire l'Expressionnisme abstrait avec J.Pollock, M.Rothko, A.Gorky... Cette école qui reste une construction étroitement liée au contexte de la guerre froide sera soutenue par des fondations, des musées, des universités. Le Rockefeller Brother Fund et le Musée d'Art Moderne de New-York ont ainsi largement promu en Europe le Nouvel Art en organisant nombre de publications et expositions...
L'influence des Etats-Unis dans tous les domaines culturels reste encore aujourd'hui prépondérante et les collections des Musées d'art moderne et contemporain ne sont que le reflet des expositions du Musée d'art moderne de New-York, acronyme MoMA, inauguré en 1929.












vendredi 31 mai 2019

The pretty Donor of water


Belle Epoque et splendeur de la station de Pougues
C’est alors que la station thermale de Pougues atteignit son apogée. Environ deux mille curistes venaient y prendre les eaux et la compagnie expédiait pas moins d’un million de bouteilles par an.
Des agrandissements sont effectués au Splendid Hôtel qui accueille désormais pendant la saison 260 clients.
De nombreuses extensions et aménagements sont apportés sur le site du Parc Saint-Léger, comme l’agrandissement du Casino avec kiosque à petits chevaux et salon de lecture ; comme les constructions en 1907, avec armature métallique, à la mode de l’époque, du Pavillon des Sources avec un promenoir conduisant au Splendid Hôtel sans oublier la construction de la grande serre.

Outre un panorama photographique du Parc Saint-Léger de Pougues-les-Eaux, les "images" des pages du lien ci-dessous ont été composées à partir des peintures "fin de siècle" de peintres académiques, aujourd'hui encore déconsidérés et souvent tombés dans l'anonymat.
On aperçoit sur quelques compositions l'île du plasticien Xavier Veilhan, plutôt bien intégrée au site et propriété du département de la Nièvre. Le Parc Saint-Léger abrite également, non loin de la belle verrière du Pavillon des Sources, un Centre d'Art Contemporain dans l'ancienne usine d'embouteillage des eaux. Mais ici, le contraste est saisissant car l’espace du Centre reste fermé, replié sur lui-même, sans lien avec la Commune et ses habitants, au contraire du bel espace bleu ciel ouvert à la lumière du Pavillon qui accueille des manifestations variées...






Misty Dawn, Turn of the Century. Les Donneuses d'eau du Parc Saint-Léger