mercredi 9 mai 2018
lundi 16 avril 2018
dimanche 15 avril 2018
samedi 7 avril 2018
Le Ministère de la Culture doit être supprimé
6 Avril 2018, Rédigé par éducation-programme
Depuis sa création en 1959 avec un ministre doté alors de réels pouvoirs cette institution, mis à part quelques actions peu contestables, comme la sauvegarde du patrimoine, aura surtout bénéficié aux fonctionnaires et sans doute aussi à quelques connaissances artistiques.
A l’heure de la troisième génération rien n’a changé et les frais de fonctionnement sont toujours là. Cependant, au fil du temps, l’enveloppe dévolue au soutien artistique s’est réduite comme peau de chagrin, sans parler hélas du discrédit de l’exécutif.
Un ministère des illusions et des frustrations ?
Les artistes en mal de reconnaissance se consoleront peut-être en pensant que cette raréfaction des aides aura au moins comme avantage d’éviter des choix forcément arbitraires.
C’est le général de Gaulle qui crée en 1959 le ministère des Affaires culturelles. Il en confie la direction à André Malraux qui conservera ce poste jusqu’en 1969. André Malraux définit sa mission de la manière suivante :
« Rendre accessible les œuvres capitales de l’humanité, et d’abord de la France, au plus grand nombre possible de Français. En assurer la plus vaste audience et favoriser la création des œuvres d’art et de l’esprit... ».
A son instigation, quinze grands monuments historiques comme Versailles, le Louvre, les Invalides… seront restaurés. En 1964, l’Inventaire général des richesses artistiques de la France est créé.
Quant à la diffusion “démocratique”, notamment de l'art vivant, Malraux pense la promouvoir à travers des Maisons de la Culture.
André Malraux lors de l'inauguration de l’exposition « Chefs d’œuvre de l’art mexicain » au Petit Palais, Paris 13 juin 1962, mais à cette époque nulle parité, on reste entre hommes !
Mission de contrôle effectuée à l'académie de France à Rome : La villa Médicis: le mythe et les réalités
lundi 26 mars 2018
Identité et attractivité des territoires nivernais
Le paradoxe de la Nièvre
Un coin de terre oublié ? Aujourd’hui peu peuplé, de peu d’entrepreneurs, donc avec peu de ressources financières et avec des services qui, hélas, commencent désormais à se déliter.
Mais un département tranquille, avec de l’espace préservé et toujours verdoyant ; ici, aucun problème de stationnement ou d’embouteillage, on trouve facilement places pour sa voiture, aisément maisons pour se loger et sentiers et ruisseaux pour flâner.
Même ledit “réchauffement climatique”, dont les médias parlent tant, semble encore préserver le département Nièvre et l'hiver reste suffisamment rigoureux en Morvan !
Mais hélas aussi !
A l'attention des forces vives de la Nièvre et des regards extérieurs
Identité et attractivité des territoires nivernais
Quelles compétences pour assister les élus ?
Selon la plus récente enquête, les Nivernais, habitants, élus, acteurs du territoire, plébiscitent à nouveau les paysages et les forêts comme premier marqueur identitaire de la Nièvre et meilleur atout pour son attractivité. Pour autant tous les diagnostics, études et enquêtes relèvent depuis de nombreuses années le manque de reconnaissance des différentes composantes qui singularisent le département.
Avec le déploiement non maitrisé de l'éolien, les Nivernais prennent conscience que les paysages ne sont pas des cartes postales figées mais résultent des multiples interventions humaines qui les façonnent sur l’histoire et la géographie. Conjuguant préservation et aménagement, patrimoine naturel et culturel, habitat, espaces agricoles, forestiers et urbanisés ils ne sont pas délocalisables et singularisent le cadre de vie des populations.
Ce cadre de vie des habitants est aussi le cadre d’accueil des visiteurs et de nouvelles activités, le cadre des projets de territoires et donc de la gestion de l’espace. Le paysage est aussi une ressource. On préserve bien, on développe bien, un territoire que l’on connaît bien et la reconnaissance de cette valeur partagée nécessite une vue d’ensemble, condition de la solidarité et de la cohérence à l’encontre d’actions cloisonnées sans lien les unes avec les autres. L'évolution des paysages doit donc être choisie et non subie.
Pour le département de la Nièvre, le problème n’est donc pas tant l’énergie éolienne par elle même que le manque de reconnaissance de la riche diversité des paysages qui identifient et qualifient les territoires nivernais et dans laquelle elle se déploie.
Jean-Jacques Verdier – administrateur du Pays Bourgogne Nivernaise - ex-membre de la Commission Départementale de la Nature des Paysages et des Sites de la Nièvre - a contribué aux Etats généraux du paysage avec la Fédération Française du Paysage et à l'Etat des lieux des paysages protégés d'Ile de France avec la DIREN et le Conseil Régional - Alligny-Cosne - Paris
Point de vue - Paysages de l'éolienPour le paysagiste Jean-Jacques Verdier, administrateur du Pays Bourgogne Nivernaise qui a notamment contribué aux Etats généraux du paysage avec la Fédération Française du Paysage, une impla...
samedi 23 décembre 2017
Je suis la Nièvre !
"JE SUIS LA NIEVRE" - Un apophtegme pour l'image du département
Il s'agit d'espérer une aide, sous quelque forme que ce soit, afin de promouvoir un département de peu de moyen : la Nièvre
"La Nièvre se paupérise, perd chaque année et depuis plus de trente ans des habitants, à l’image de sa Préfecture Nevers objet de reportages peu flatteurs sur ses commerces fermés.
Le Département ne manque pourtant pas d’atouts – son espace, ses forêts, ses Eaux et, bien entendu, la Loire sans parler de sa proximité avec Paris et d'un prix au m2 des plus abordable de France.
La RATP dispose de quelques endroits, hors espaces payants réservés aux annonceurs, pour exposer..."
A disposition gracieuse :
Une quinzaine de peintures mais plus d’une centaine de grandes photos.
Le paradoxe de la Nièvre
Un coin de terre oublié ? Aujourd’hui peu peuplé, de peu d’entrepreneurs, donc avec peu de ressources financières et avec des services qui, hélas, commencent désormais à se déliter.
Mais un département tranquille, avec de l’espace préservé et toujours verdoyant ; ici, aucun problème de stationnement ou d’embouteillage, on trouve facilement places pour sa voiture, aisément maisons pour se loger et sentiers et ruisseaux pour flâner.
Même ledit “réchauffement climatique”, dont les médias parlent tant, semble encore préserver le département Nièvre et l'hiver reste suffisamment rigoureux en Morvan !
http://nievre-en-images.blogspot.fr/
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